Le Centre sur les politiques scientifiques canadiennes
1595 16th Avenue, Suite 301
Richmond Hill, Ont.
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Politique d'innovation englobe toutes les politiques régissant l’écosystème canadien de l’innovation, qui comprend tous les domaines de l’innovation et du développement économique, de la R&D du secteur privé, des politiques de commercialisation et de technologie et bien plus encore. Cela inclut également l’innovation sociale.
Science au service de la politique est l'application et l'utilisation de la recherche et des connaissances scientifiques pour éclairer les décisions fondées sur des données probantes en matière de politique publique et de réglementation dans tous les domaines politiques, sans s'y limiter mais y compris les priorités politiques d'intérêt public telles que la santé, l'environnement, la sécurité nationale, l'éducation, la justice pénale et autres.
La Politique au service de la scienceLe prix récompense une personne qui a été à l'avant-garde des politiques et des pratiques pour améliorer le développement de nouvelles technologies, le renforcement des capacités et l'infrastructure de recherche. La politique pour la science se concentre sur la gestion des entreprises scientifiques, la production de nouvelles connaissances, le développement de nouvelles technologies, le renforcement des capacités, la formation de personnel hautement qualifié et les infrastructures de recherche. En général, les principales cibles de Policy for Science sont les établissements d'enseignement postsecondaire, les organismes de financement de la recherche et les ministères et organismes gouvernementaux à vocation scientifique.
Politique scientifique comprend les deux politique pour la science et le la science pour la politique. Politique pour la science se concentre sur la gestion des entreprises scientifiques, c'est-à-dire la génération de nouvelles connaissances, le développement de nouvelles technologies, le renforcement des capacités, la formation de personnel hautement qualifié et l'infrastructure de recherche. En général, les principaux objectifs de politique pour la science sont des établissements postsecondaires, des organismes de financement de la recherche et des ministères et organismes gouvernementaux à vocation scientifique. La science pour la politique est l'application et l'utilisation de la recherche et des connaissances scientifiques pour éclairer les décisions fondées sur des données probantes pour les politiques publiques et les réglementations dans tous les domaines politiques, sans s'y limiter, mais y compris les priorités politiques d'intérêt public telles que la santé, l'environnement, la sécurité nationale, l'éducation et la justice pénale et d'autres.
Science et société se concentre sur le renforcement de la compréhension et de l’engagement du public envers la science, y compris la relation entre la science et la société. Cela inclut, sans toutefois s'y limiter, la communication scientifique, le journalisme scientifique, l'engagement du public, les scientifiques citoyens et bien plus encore.
Organisé par: Université de Guelph
Modérateur: Malcom Campbell
Orateurs : Michèle Anholt, Hélène Carabin, Arinjay Banerjee, Jagvinder Dhanda, Jane Parmley
Preneur de notes: Bipin Kumar B.
Date du panel : 1er Novembre 2022
Résumé du panel :
Si la pandémie actuelle nous a appris quelque chose, nous devons trouver un moyen d'éviter ou, au minimum, d'atténuer les effets des maladies et des urgences environnementales, y compris les futures pandémies propagées dans les populations humaines et animales. Une approche One Health, qui se concentre sur la tempête parfaite de défis sanitaires à l'intersection de la santé humaine, animale et environnementale, doit être au centre de la préparation ; ces événements ont le potentiel de causer des souffrances massives, de perturber les systèmes alimentaires, de faire dérailler nos économies et de conduire à d'énormes inégalités et à des troubles politiques. Bien que cet appel à l'action puisse sembler intimidant, il existe de nombreux exemples d'initiatives One Health et d'approches politiques réussies dans le monde entier. Ce panel examinera les réussites de One Health et la manière dont elles tracent la voie pour mettre en place une stratégie afin de nous préparer au mieux aux futures menaces nationales et mondiales pour la santé. Nos panélistes présenteront leurs histoires sur la façon dont ils ont initié un changement positif en utilisant une approche One Health et les leçons importantes qu'ils ont apprises.
Modérateur:
Malcolm Campbell, professeur et vice-président à la recherche, Université de Guelph
Orateurs :
Contexte:
Si la pandémie de COVID 19 nous a appris quelque chose, c'est que nous devons trouver un moyen d'éviter ou, au minimum, d'atténuer les effets des maladies et des urgences environnementales, y compris les futures pandémies propagées dans les populations humaines et animales. Une approche One Health, qui se concentre à l'intersection de la santé humaine, animale et environnementale, doit être au centre de la préparation. Ou bien nous risquons des souffrances massives, une perturbation des systèmes alimentaires, un déraillement de nos économies, des inégalités exacerbées et des troubles politiques.
Principaux plats à emporter:
Organisé par: BioCanRx
Modérateur: Dre Durhane Wong-Rieger
Orateurs : Dr Risini Weeratna, Dr John Bell, Dr Boro Dropulic, Dr Conor Douglas
Preneur de notes: Andrew Harris
Date du panel : 9 Novembre, 2022
Résumé du panel :
Les Canadiens atteints de maladies rares doivent avoir accès à des médicaments qui peuvent les aider à gérer et à traiter leur maladie. Pour les conditions où les médicaments existent, les coûts peuvent être prohibitifs. Les défis nationaux bien connus comprennent l'accès incohérent aux médicaments à travers le pays, les limites du développement des médicaments et de la production de preuves liées aux petites populations de patients, et la manière d'atteindre l'objectif d'un accès équitable et durable. Le panel discutera du rôle de l'innovation pharmaceutique sociale dans la stratégie canadienne sur les maladies rares et dans la promotion des besoins d'accès durable au Canada et à l'étranger, ainsi que de son impact potentiel sur les secteurs universitaire, public et privé.
Modérateur:
Durhane Wong-Rieger, présidente et chef de la direction, Organisation canadienne des maladies rares, Institute for Optimizing Health Outcomes, PhD
Orateurs :
Contexte:
Il existe d'innombrables maladies rares dans le monde, et malgré des investissements et des efforts importants pour créer des thérapies contre les maladies rares, ces innovations ont ciblé environ 5 à 6 % des maladies rares. Même dans les pays à revenu élevé, seuls 10 % environ des patients ont accès aux thérapies contre les maladies rares qui ont été développées. La situation dans les pays à revenu faible et moyen est bien pire.
Les panélistes ont abordé la conversation d'un point de vue systémique, dans le contexte du développement et de l'accès aux thérapies pour les maladies rares. Les obstacles identifiés sont souvent intégrés dans les systèmes nationaux et mondiaux et concernent la R&D, les approbations réglementaires et l'accès.
Principaux plats à emporter:
Nos recommandations:
Organisé par: Conseil national de recherches du Canada
Modérateur: Éric Lefebvre
Orateurs : Teara Fraser, Simon Azar, Ameet Sarreen, Linda Schucroft
Preneur de notes: Maryam Taheri
Date du panel : 10 Novembre, 2022
Modérateur:
Eric Lefebvre, MSc, directeur, Développement des affaires, Aérospatiale, Conseil national de recherches du Canada et cofondateur de Canadian Advanced Air Mobility
Orateurs :
Contexte:
Le besoin urgent de transports plus verts et durables a catalysé une transformation de l'aviation qui a abouti au développement de la mobilité aérienne avancée (AAM), qui vise à déplacer efficacement et plus fréquemment le fret et les personnes à l'aide d'avions révolutionnaires à zéro émission. La vision unifiée du Canada a facilité les collaborations multilatérales et accélère l'innovation et fait progresser les technologies durables. Le panel a discuté des défis auxquels l'écosystème s'attaque activement et des avantages de l'AAM au Canada. Grâce à des cas d'utilisation opérationnels viables, l'écosystème canadien de mobilité aérienne avancée (CAAM) comble des lacunes critiques pour permettre la mise en œuvre de l'AAM et exporter des capacités positionnant le Canada comme un chef de file mondial.
Principaux plats à emporter:
Organisé par: Génome Canada
Modérateur: Karen Devar
Orateurs : Rachel Verwey, Dr Stuart Smyth, Kelly Tanaka
Preneur de notes: Keval Shah
Date du panel : 10 Novembre, 2022
Résumé du panel :
Placer le climat dans toutes les innovations (et politiques et pratiques) est le seul moyen de relever le défi complexe du changement climatique. Le secteur agricole contribue au changement climatique mais joue également un rôle important dans la réduction de sa gravité. L'innovation génomique pour une agriculture et des systèmes alimentaires intelligents face au climat peut soutenir les nouvelles technologies, produits et approches nécessaires pour atténuer et s'adapter au changement climatique tout en soutenant la croissance et l'emploi. Ce panel réunit des représentants d'une coalition de scientifiques, d'innovateurs, de fabricants, de décideurs et de responsables de la mise en œuvre pour discuter des moyens de mobiliser l'écosystème agroalimentaire grâce à la génomique pour réaliser les impacts climatiques.
Modérateur:
Karen Dewar, vice-présidente associée, Génomique, GénomeCanada
Orateurs :
Contexte:
Le Canada est le chef de file mondial de l'information, de la communication et de la technologie (TIC). Cependant, il réussit mal à faciliter le marché, à encourager l'innovation et l'investissement en R&D et à se préparer à la transformation économique. Le panel, composé de représentants du milieu universitaire et de l'industrie, s'est concentré sur d'importantes questions de politique et de recherche concernant l'innovation dans le secteur agricole et alimentaire. Les opportunités et les défis mis en évidence comprenaient moins de réglementation, un financement accru pour la recherche et la réduction de l'écart d'adoption entre la recherche des secteurs public et privé.
Principaux plats à emporter:
Nos recommandations:
Organisé par: Secrétariat du Comité de coordination de la recherche au Canada (CCRC) et organismes membres du CCRC
Modérateur: Valérie La Traverse
Orateurs : Dr Stephen Lucas, Dr Roseann O'Reilly Runte, Tammy Clifford, Alexandre Adem, Ted Hewitt, Iain Stewart, François Bilodeau, Heather Jeffrey
Preneur de notes: Shaarika Sarasija
Date du panel : 16 Novembre, 2022
Résumé du panel :
Joignez-vous aux membres du Comité de coordination de la recherche au Canada alors qu'ils
discuter des efforts collectifs de leurs organisations pour aider à soutenir l'entreprise de recherche du Canada pendant la pandémie en cours tout en gardant un œil sur l'avenir - en travaillant ensemble sur les principales priorités fédérales pour bâtir une communauté de recherche plus équitable, connectée et innovante pour le Canada.
Partagez vos points de vue sur les questions nationales. La discussion vise à éclairer les réflexions et l'agenda du Comité pour l'année à venir.
Pour en savoir plus sur les efforts collectifs des organismes de financement de la recherche du Canada pour répondre aux priorités nationales, veuillez visiter le site Web du CCRC : www.canada.ca/ccc
Modérateur:
Valérie La Traverse, vice-présidente, Affaires corporatives, Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH)
Orateurs :
Contexte:
Le Comité de coordination de la recherche au Canada (CCRC) s'emploie activement à coordonner et à renforcer les politiques et les programmes des trois organismes fédéraux de financement de la recherche du Canada et de la Fondation canadienne pour l'innovation afin de faire progresser les priorités de recherche fédérales. Ce panel interactif a réuni des membres du CCRC pour discuter du travail accompli et des progrès réalisés par leurs organisations pour aider à favoriser l'entreprise de recherche au Canada.
Article récapitulatif du panel CPSC CRCC disponible en ligne.
Modérateur:
Jennifer Spence, chercheuse principale de l'Initiative arctique - Harvard Kennedy School of Government
Orateurs :
Contexte:
Le dégel du pergélisol joue un rôle mal compris dans la crise climatique actuelle. Avec environ 40 % de son territoire recouvert de pergélisol, le Canada doit être un chef de file dans l'amélioration de nos connaissances sur ce problème immédiat et pressant. Ce panel a présenté Permafrost Pathways, un projet de 41.5 millions de dollars sur six ans, dédié à améliorer notre compréhension des impacts locaux, régionaux et mondiaux du dégel du pergélisol panarctique, tout en travaillant avec les résidents de l'Arctique pour co-créer des stratégies d'adaptation, et en tirant parti de cette connaissances pour influencer les politiques climatiques à tous les niveaux. Ce panel a été l'occasion pour les dirigeants de Permafrost Pathways et les chercheurs, décideurs et résidents de l'Arctique canadiens d'échanger des idées et d'examiner les possibilités de collaboration.
Principaux plats à emporter:
Nos recommandations:
Modérateur:
Elicia Mane, professeur d'innovation et d'entrepreneuriat ; Vice-président associé, Mobilisation des connaissances et innovation, Université Simon Fraser
Orateurs :
Contexte:
Les collectivités au Canada et dans le monde sont des sources importantes d'émissions et ont également besoin de soutien pour faire face aux impacts et aux coûts des changements climatiques. La réduction des risques climatiques (adaptation) et la décarbonation rapide (atténuation) sont cruciales pour toutes les décisions et politiques visant à faire progresser la résilience des communautés et les objectifs de durabilité. Les approches fondées sur des données probantes sont essentielles pour une action transformatrice et nécessiteront une collaboration interdisciplinaire, transdisciplinaire et inclusive. Les panélistes ont discuté des avancées dans la planification et la mise en œuvre de la résilience à faible émission de carbone, de l'innovation en matière d'énergie propre et des voies de transition vers la durabilité.
Principaux plats à emporter:
Organisé par: Conseil National de Recherche
Modérateur: Lakshmi Krishnan
Orateurs : Dr Nadia Sabeh, Marc Lefsrud, Krin Mann
Preneur de notes: Zier Zhou
Date du panel : 17 Novembre, 2022
Modérateur:
Lakshmi Krishnan, vice-président des sciences de la vie, Conseil national de recherches (CNRC)
Orateurs :
Contexte:
L'augmentation durable de l'autosuffisance de la production alimentaire nécessite des approches novatrices qui peuvent répondre à la fois aux moteurs mondiaux en évolution et aux besoins propres au Canada. Le panel a discuté des technologies émergentes prometteuses positionnées pour répondre à ces défis et a exploré de nouvelles opportunités potentielles pour l'innovation et l'investissement dirigés par le Canada. Au cœur de cette discussion, a-t-on souligné, se trouve la capacité de la technologie à s'attaquer aux facteurs socioéconomiques qui contribuent à l'insécurité alimentaire et aux aspects pratiques de l'infrastructure dans les collectivités éloignées et nordiques.
Principaux plats à emporter:
Nos recommandations:
Organisé par: Université de Regina
Modérateur: Margot A. Hurlbert
Orateurs : Chef Cadmuss Delorme, Wes Jickling, Mosscrop de Larkin, Zinta Zommer, Larissa Shasko
Preneur de notes: Andrew Harris
Date du panel : 17 Novembre, 2022
Résumé du panel :
La politique du Canada en matière de changement climatique (« CC ») progresse en matière d'atténuation (atteinte d'émissions nettes nulles) et d'adaptation (réduction des risques et planification des risques/catastrophes). Aborder tous les aspects du CC nécessitera une politique transformatrice, intersectionnelle (lutter contre les inégalités et les personnes les plus vulnérables), interdisciplinaire et intersectorielle. À l'échelle mondiale et dans la politique canadienne, il existe un écart entre une politique CC fragmentée et l'atteinte des objectifs net zéro et de résilience CC. Ce panel examinera la politique nécessaire pour lutter contre le CC en s'engageant dans la modélisation du CC (y compris les voies socio-économiques partagées (SSP) - scénarios de changement climatique basés sur des récits d'inégalité sociale, de rivalité régionale ou de durabilité) et les voies futures possibles pour atteindre le CC cibles. Les SSP font partie d'un nouveau cadre de scénarios, établi par la communauté de recherche sur le changement climatique afin de faciliter l'analyse intégrée des futurs impacts climatiques, des vulnérabilités, de l'adaptation et de l'atténuation. Les SSP sont basés sur des récits décrivant des développements socio-économiques alternatifs, y compris le développement durable, le développement des combustibles fossiles, le développement des ressources naturelles et de l'énergie, et les progrès technologiques pour les secteurs difficiles à décarboner, y compris l'acier et le ciment (avec de petits réacteurs modulaires (SMR) et le carbone). capture, utilisation et stockage (CCUS)). Les principales tensions et obstacles aux futurs points de décision nécessaires pour atteindre zéro émission nette de GES d'ici 2050 et s'adapter au changement climatique seront décrits. Des méthodes interactives impliqueront le public dans le vote virtuel et la détermination de ces futurs points de décision résultant en la création d'une voie politique pour le futur monde décarboné du Canada.
Modérateurs:
Orateurs :
Contexte:
Dans l'accord de Paris, les nations ont convenu de limiter le réchauffement bien en dessous de 2°C. Malgré cela, les projections actuelles suggèrent que nous sommes en bonne voie vers un réchauffement de 2.7°C et plus de 4°C. Nous observons déjà des points de basculement à un réchauffement de 1.4 °C : diminution des récifs coralliens, ralentissement de la circulation océanique polaire nord, perte de glace de mer arctique, effondrement des glaciers et fonte du pergélisol pour n'en nommer que quelques-uns. Une perspective multidisciplinaire appelée les voies socio-économiques a été identifiée et discutée comme un moyen d'aborder les défis en créant des récits soutenus par la modélisation. Les parcours socio-économiques partagés (SSP) sont utiles pour essayer de comprendre les facteurs socio-économiques et les points de décision pour l'avenir, ainsi que pour naviguer dans l'incertitude. Ils décrivent les évolutions de la société future et les divers compromis qui existent alors que nous tentons de lutter contre le changement climatique. Par exemple, dans le cadre du SSP1, le GIEC a adopté 1.5 °C et met l'accent sur la durabilité, la réduction des GES, la réduction du PIB et la lutte contre les inégalités.
Principaux plats à emporter:
Résumé du panel :
Limiter le réchauffement climatique à 1.5oC nécessite de nouvelles technologies pour capturer et utiliser le carbone de l'atmosphère. Ce panel aborde une série de questions : (1) comment pouvons-nous réduire au mieux les émissions sectorielles liées au secteur énergétique actuel du Canada? (2) quelles sont les technologies les plus efficaces pour capter le carbone, des émissions et de l'atmosphère ? (3) comment pouvons-nous réutiliser le plus efficacement le carbone qui a été capté ? (4) quels outils seront les plus importants pour susciter un changement de comportement afin que cela se produise ? La discussion mettra en lumière le rôle des nouvelles technologies pour soutenir la transition énergétique du Canada.
Orateurs :
Contexte:
L'objectif de limiter le réchauffement climatique à 1.5°C est difficile avec les tendances actuelles et les politiques actuelles, qui nous placent en fait sur une trajectoire d'augmentation de la température d'environ 3.2°C selon le 6e rapport d'évaluation du GIEC, 2022. Le panel s'est concentré à l'intersection du développement technologique, des politiques et du changement social avec des discussions sur la réduction et la capture des émissions, ce qu'il faut faire avec les émissions capturées et le type de comportements qui mèneront à un avenir à faible émission de carbone. Les panélistes ont répondu à des questions telles que : 1. Quelles sont les technologies les plus efficaces pour capturer le carbone des émissions et de l'atmosphère ? 2. Comment pouvons-nous mesurer au mieux ces systèmes pour nous assurer que nous réussissons ? 3. Qu'est-ce que cela signifie pour l'avenir de l'industrie canadienne?
Principaux plats à emporter:
Modérateur:
Janet King, PhD, présidente du conseil d'administration de NSERC PermafrostNet, vice-présidente du conseil d'administration du Centre canadien de rayonnement synchrotron, membre du conseil d'administration du CPSC
Orateurs :
Contexte:
Le Canada connaît des changements climatiques, dont un élément clé est le dégel du pergélisol. Le dégel du pergélisol libère non seulement de grandes quantités de gaz à effet de serre, mais déstabilise également le sol gelé qui soutient littéralement les communautés et les infrastructures du Nord et soutient les modes de vie traditionnels et les écosystèmes interdépendants. Pourtant, les capacités, la recherche, les données, les services et l'évaluation éclairée des risques restent limités et fragmentés, à mesure que les impacts négatifs s'accélèrent. Cette table ronde a stimulé la discussion sur les priorités et les considérations concurrentes du Canada apprenant à vivre avec le dégel du pergélisol et à s'y préparer, dans le cadre plus large du paysage politique du changement climatique, des questions arctiques, de la durabilité énergétique et alimentaire, de l'autonomie gouvernementale, de la réconciliation et de la souveraineté des données.
Principaux plats à emporter:
Actes: