Eden Hataley

Doctorant

Université de Toronto Scarborough

Tirer parti de l’Accord relatif à la qualité de l’eau dans les Grands Lacs pour lutter contre la pollution plastique

Thème de la conférence Connected : Science, connaissance et société

Les Grands Lacs ont une valeur socioéconomique, environnementale et culturelle immense pour ceux qui vivent dans la région et à l’extérieur. Ils constituent le plus grand écosystème d’eau douce de la planète, fournissant des emplois, de la nourriture, de l’eau et des loisirs à des millions de personnes et un habitat à des milliers d’espèces sauvages. Cependant, la santé de l’écosystème des Grands Lacs continue d’être menacée par des problèmes causés par l’homme, notamment le changement climatique, la perte d’habitat, les espèces envahissantes et la pollution. Le plastique est une forme émergente de pollution dans les Grands Lacs – les chercheurs estiment que 22 millions de livres de plastique pénètrent dans les Grands Lacs chaque année [12], et la gestion de ce plastique s’avère compliquée. Pourquoi ? Tout d’abord, la pollution plastique provient de nombreuses sources, terrestres et aquatiques, et pénètre dans l’environnement naturel par de nombreuses voies, de sorte qu’il n’existe pas de solution universelle pour empêcher sa libération. Ensuite, le plastique est un polluant transfrontalier, ce qui signifie qu’il peut se déplacer loin de son lieu d’origine par le mouvement de l’air et de l’eau, de sorte que toute action efficace doit avoir lieu à une échelle régionale plus large. L’élargissement de l’utilisation de l’Accord relatif à la qualité de l’eau dans les Grands Lacs – l’accord volontaire entre le Canada et les États-Unis – fournit un mécanisme prometteur pour coordonner une action globale sur la pollution plastique dans toute la région.

Avertissement : La version française de ce texte a été traduite automatiquement et n'a pas été approuvée par l'auteur.