Mon parcours dans le domaine de la défense des sciences et du bénévolat

Auteur:
Trushar Patel
Université de Lethbridge
Professeur agrégé
Biophysique de l'ARN et des protéines
Chaire de recherche du Canada
Avertissement : La version française de ce texte a été traduite automatiquement et n'a pas été approuvée par l'auteur.
Ayant grandi en Inde, mon parcours universitaire s'est principalement concentré sur l'éducation traditionnelle. Pendant mes études de licence et de master, l'accent était entièrement mis sur les cours magistraux, les travaux de laboratoire, les cours et les évaluations. La défense des sciences et le travail politique étaient des termes que je n'avais jamais entendus. Lorsque j'ai poursuivi mon doctorat au Royaume-Uni, suivi de recherches postdoctorales au Canada, je me suis concentré sur la conduite d'études, la collecte et l'analyse de données et la diffusion des résultats de recherche. Ce n'est qu'au début de ma carrière de professeur adjoint à l'Université de Lethbridge que j'ai été exposé à l'importance de la défense des sciences et des politiques.
Grâce à mon engagement auprès des sociétés scientifiques, j’ai commencé à comprendre la nécessité cruciale de communiquer la science à divers groupes, de plaider en faveur des investissements dans la recherche et d’influencer les décisions politiques. Ces sujets sont devenus des sujets de conversation essentiels et ont suscité mon intérêt pour m’impliquer.
Un tournant : la Chaire de recherche du Canada et la science à la rencontre du Parlement
Lorsque j’ai obtenu la chaire de recherche du Canada en novembre 2017, quelques choses ont changé pour le mieux. En mai 2018, le Centre canadien sur les politiques scientifiques (CCPS) a lancé une initiative unique appelée Science Meets Parliament (SMP), conçue pour favoriser des relations durables entre la communauté scientifique et les parlementaires. J’ai eu la chance d’être sélectionné comme membre de la cohorte inaugurale du SMP. En passant deux jours à Ottawa en novembre 2018, j’ai appris des choses sur la défense des sciences, la communication et les politiques, et j’ai rencontré des hauts dirigeants qui étaient activement impliqués dans ces domaines. De retour à Lethbridge, j’ai ressenti un nouvel enthousiasme et une nouvelle passion pour la défense des sciences. J’ai commencé à collaborer avec d’autres titulaires de chaires de recherche du Canada qui avaient également participé au SMP, et ensemble, nous avons publié un article dans la revue Science and Public Policy en 2020. Après cette expérience transformatrice, j’ai contacté les organisateurs du SMP, dont Mehrdad Hariri et Matt McTaggart, pour leur demander si je pouvais aider à l’organisation d’événements futurs. J’ai été ravi lorsqu’ils ont accepté et je me suis rapidement impliqué activement dans l’organisation des événements SMP et des conférences annuelles du CSPC.
Bénévolat pour le CSPC et le SMP
Depuis 2021, j’ai eu le privilège de faire du bénévolat en tant que membre du comité de programme pour les conférences annuelles du CSPC (2021, 2023-2025) et d’organiser des événements SMP au cours des mêmes années. Je m’engage à poursuivre mon implication auprès du SMP le plus longtemps possible. L’un des aspects les plus gratifiants de mon travail bénévole a été d’examiner les propositions de tables rondes lors des conférences du CSPC et d’examiner les propositions de candidats au CRC pour les événements SMP. Cette tâche m’a exposé à l’étendue et à la profondeur des activités de plaidoyer, de communication et scientifiques qui se déroulent partout au Canada.
Le bénévolat m’a également offert des occasions de réseautage inestimables, me permettant d’initier de nouvelles collaborations, de m’engager activement dans la défense des sciences et d’appliquer des compétences transférables à mon travail à l’Université de Lethbridge. Par exemple, pendant la pandémie de COVID-19, j’ai utilisé mes compétences en communication pour expliquer les infections virales, le développement de vaccins et l’immunité à des membres de la communauté non experts. De plus, l’expérience que j’ai acquise en collaborant avec des décideurs politiques à Ottawa m’a aidée dans mes projets de laboratoire et dans mon rôle de doyenne associée. Grâce à mes efforts bénévoles, j’ai également contribué à des sociétés dans lesquelles je suis activement impliquée, notamment la Société de biophysique, la Société de biophysique du Canada, la Société canadienne des biosciences moléculaires et RNA Canada ARN.