L'état de la recherche canadienne en 2024 : tendances, impact institutionnel et disciplines
Auteur:
Dr. Hamed Taherdoost

Avertissement : La version française de ce texte a été traduite automatiquement et n'a pas été approuvée par l'auteur.
Le Canada est un chef de file mondial en recherche universitaire, produisant des publications de grande qualité dans toutes les disciplines. Son écosystème de recherche s'appuie sur un soutien gouvernemental solide, des institutions bien financées et un engagement envers l'innovation. Les collaborations internationales enrichissent son environnement universitaire, attirant des chercheurs et des financements du monde entier. Une recherche Scopus pour « Canada » dans le champ « pays d'affiliation » a généré 133,904 2024 résultats pour 1. Le tableau 20,594 présente les établissements canadiens les plus performants en termes de publications, ce qui reflète la solidité du milieu universitaire et de la recherche au pays. L'Université de Toronto arrive en tête avec 11,788 9,534 articles, démontrant ainsi sa force en recherche. L'Université de la Colombie-Britannique (7,268 3,476) et l'Université de l'Alberta (XNUMX XNUMX) suivent, démontrant leur impact scientifique. Les établissements spécialisés contribuent également de manière significative : la Faculté de médecine de l'Université de Toronto a publié XNUMX XNUMX articles et le Réseau universitaire de santé en a produit XNUMX XNUMX, soulignant ainsi leur rôle dans la recherche médicale et en soins de santé.
Tableau 1. Les meilleurs établissements d'enseignement supérieur du Canada
Affiliation | Numéro de publication |
Université de Toronto | 20594 |
L'Université de la Colombie-Britannique | 11788 |
Université de l'Alberta | 9534 |
Université McGill | 9367 |
Université de Calgary | 7410 |
Faculté de médecine de l'Université de Toronto | 7268 |
Université McMaster | 6928 |
Université d'Ottawa | 6298 |
Université de Montréal | 5871 |
Université Western | 5729 |
Université de Waterloo | 5518 |
Université Laval | 4435 |
Université Queen | 4106 |
Université de Dalhousie | 4072 |
Université du Manitoba | 3992 |
Réseau universitaire de santé | 3476 |
Université York | 3260 |
Université Simon Fraser | 2990 |
Université de la Saskatchewan | 2927 |
Cumming School of Medicine | 2843 |
Français La figure 1 montre la répartition des publications du Canada en 2024, la médecine étant en tête (44,792 22,054), soulignant son orientation vers les soins de santé. Le génie (18,950 16,674) et les sciences sociales (13,631 10,348) reflètent un investissement équilibré dans la technologie et la société. L'informatique (9,694 25,000) et la biochimie (4,924 4,477) soulignent davantage les avancées dans les technologies et les sciences de la vie. Les sciences de l'environnement (657 900) et l'agriculture (XNUMX XNUMX) illustrent les efforts en matière de durabilité. Les sciences traditionnelles – mathématiques, physique et chimie – contribuent à plus de XNUMX XNUMX articles. Les domaines émergents comme les affaires (XNUMX XNUMX) et l'énergie (XNUMX XNUMX) manifestent un intérêt croissant, tandis que la dentisterie (XNUMX) et la médecine vétérinaire (XNUMX) représentent des domaines de recherche spécialisés.
Figure 1. Répartition des résultats de la recherche par domaine thématique au Canada
Une liste de 4222 2 établissements est disponible sur le site Web https://www.cicic.ca/249/home.canada, recommandé par Canada.ca, le site Web officiel du gouvernement du Canada. Un filtre pour les collèges et universités privés (à but lucratif et sans but lucratif) a produit 39 résultats. Une recherche complémentaire sur Scopus, axée sur les relations avec les universités canadiennes, n'a donné que 2 correspondances, comme l'indique le tableau 109. Cette étude visait à recueillir des informations sur les écoles privées au Canada, en particulier celles liées à Scopus. Parmi les universités privées, l'Université Canada West arrive en tête avec 82 publications, ce qui témoigne d'un fort engagement en recherche. Les établissements à but lucratif et sans but lucratif contribuent tous deux, l'Université Trinity Western (61) et l'Université Concordia d'Edmonton (XNUMX) ayant un impact scientifique notable.
Tableau 2. Universités privées
Institution | Nombre de publications | Secteur | Statut légal |
Université Canada Ouest | 109 | À but lucratif | Autorisé |
Université Trinity Western | 82 | Non lucratif | Autorisé |
Université Concordia d'Edmonton, Alberta | 61 | Non lucratif | Autorisé |
Collège commémoratif canadien de chiropratique | 53 | Non lucratif | Autorisé |
Université Yorkville (Colombie-Britannique) | 50 | À but lucratif | Autorisé |
Université de commerce internationale | 28 | Non lucratif | Autorisé |
Institut de technologie de New York | 23 | Non lucratif | Autorisé |
Université Northeastern, Toronto/Vancouver | 22 | Non lucratif | Autorisé |
Université Rédempteur | 21 | Non lucratif | Autorisé |
St. Mary's University | 19 | Non lucratif | Autorisé |
Université de Crandall | 19 | Non lucratif | Reconnu |
Columbia College | 16 | Non lucratif | Autorisé |
Université Adler | 13 | Non lucratif | Autorisé |
Université Ambrose | 12 | Non lucratif | Autorisé |
Université de Niagara (Ontario) | 11 | À but lucratif | Autorisé |
Français Les établissements privés du Canada contribuent largement dans divers domaines (Figure 2). Les sciences sociales arrivent en tête avec 168 articles, ce qui reflète une forte concentration sur la dynamique sociétale. L'informatique (118) et les arts et lettres (112) mettent l'accent sur la technologie et les études culturelles. La médecine (108) et les affaires (105) équilibrent les soins de santé et la recherche économique, tandis que le génie (86) et l'économie (59) soutiennent les secteurs financier et technologique. On observe un intérêt croissant pour la psychologie (47) et les sciences de l'environnement (43). Des domaines spécialisés comme la biochimie (28), l'énergie (35) et les professions de la santé (39) mettent l'accent sur les sciences appliquées. Bien que moins nombreux en volume, les soins infirmiers (21), les neurosciences (16) et les sciences de la décision (14) illustrent la diversité de la recherche.
Figure 2. Répartition de la production de recherche par domaine dans les universités privées canadiennes en 2024
Malgré une collecte et une analyse approfondies des données, plusieurs limites doivent être reconnues. Se fier uniquement à Scopus pourrait exclure des études pertinentes provenant d'autres bases de données comme Web of Science ou Google Scholar, ce qui pourrait fausser la production scientifique canadienne. Les variations de dénomination institutionnelle et les collaborations interdisciplinaires nuisent également à l'exactitude des publications, en particulier dans les établissements privés. De plus, l'étude se concentre sur la production quantitative, négligeant l'impact qualitatif de la recherche, comme les citations ou l'influence sur les politiques. Bien que les classifications thématiques soient utiles, elles ne rendent pas pleinement compte des domaines spécialisés ni des tendances interdisciplinaires émergentes.
La production de recherche universitaire canadienne a augmenté en 2024, les priorités ayant évolué par rapport à 2023. Toronto (C.-B.) et McGill ont dominé les publications scientifiques, avec une augmentation des recherches en médecine, en génie et en informatique, mettant l'accent sur la santé, la technologie et les études transdisciplinaires. L'Université de Toronto a conservé sa première place avec 19,960 43,000 publications, affichant une croissance continue. Les universités privées comme Trinity Western et l'Université Canada West ont mis l'accent sur les affaires, la gestion et l'informatique. La recherche s'est étendue à tous les domaines, avec une croissance notable des études transdisciplinaires et des sciences de l'environnement. La médecine était en tête avec 2023 2024 articles en XNUMX, tandis que XNUMX a vu des contributions croissantes en IA, en biochimie et en technologies numériques. Les institutions publiques et privées ont donné la priorité à l'IA, aux soins de santé et au développement durable, stimulant ainsi l'innovation.