Un doctorat. Parcours d'ingénieur en politique scientifique

Auteurs):

Hamid Dehkordi

Le Centre sur les politiques scientifiques canadiennes

Bénévolat

Clause de non-responsabilité : La version française de cet éditorial a été auto-traduite et n’a pas été approuvée par l’auteur.

En tant que doctorat. Ingénieur mécanique, j'ai passé plus d'une décennie immergé dans le monde des concepts d'ingénierie, des fluides et de l'énergie. Mon enseignement et mes recherches m'avaient emmené au plus profond des phénomènes physiques et des sciences appliquées.

C'était il y a 2 ans lorsque j'ai discuté avec un vieil ami qui travaillait au Centre canadien de la politique scientifique (CSPC) en tant que bénévole. Je me souviens que nous avons discuté des défis liés à la direction de la recherche appliquée et à l’augmentation des impacts des résultats de la recherche. Pourtant, à un moment donné, il m'a suggéré de rejoindre le CSPC et d'essayer de poursuivre l'un de mes domaines d'intérêt. J'ai rejoint le CSPC en 2020 en tant que membre du comité de rédaction des subventions, qui, je crois, est le « cœur » du CSPC.

Durant ces deux années, j'ai participé à différents comités. Écrire en tant qu'ingénieur scientifique implique souvent de documenter les résultats de recherche et les rapports techniques, une tâche pour laquelle je suis bien formé. Cependant, la transition vers le rôle de bénévole en politique scientifique présente un ensemble unique de défis. Dans ce nouveau domaine, je dois maîtriser l’art de transmettre des concepts scientifiques complexes aux décideurs politiques et au public d’une manière à la fois compréhensible et convaincante. Ce fut l’un de mes défis les plus mémorables.

Mon parcours du laboratoire au monde de la politique scientifique m'a aidé à apprendre, à m'adapter et à développer des compétences que je n'avais jamais acquises dans le monde de la science.