Le Centre sur les politiques scientifiques canadiennes
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Politique d'innovation englobe toutes les politiques régissant l’écosystème canadien de l’innovation, qui comprend tous les domaines de l’innovation et du développement économique, de la R&D du secteur privé, des politiques de commercialisation et de technologie et bien plus encore. Cela inclut également l’innovation sociale.
Science au service de la politique est l'application et l'utilisation de la recherche et des connaissances scientifiques pour éclairer les décisions fondées sur des données probantes en matière de politique publique et de réglementation dans tous les domaines politiques, sans s'y limiter mais y compris les priorités politiques d'intérêt public telles que la santé, l'environnement, la sécurité nationale, l'éducation, la justice pénale et autres.
La Politique au service de la scienceLe prix récompense une personne qui a été à l'avant-garde des politiques et des pratiques pour améliorer le développement de nouvelles technologies, le renforcement des capacités et l'infrastructure de recherche. La politique pour la science se concentre sur la gestion des entreprises scientifiques, la production de nouvelles connaissances, le développement de nouvelles technologies, le renforcement des capacités, la formation de personnel hautement qualifié et les infrastructures de recherche. En général, les principales cibles de Policy for Science sont les établissements d'enseignement postsecondaire, les organismes de financement de la recherche et les ministères et organismes gouvernementaux à vocation scientifique.
Politique scientifique comprend les deux politique pour la science et le la science pour la politique. Politique pour la science se concentre sur la gestion des entreprises scientifiques, c'est-à-dire la génération de nouvelles connaissances, le développement de nouvelles technologies, le renforcement des capacités, la formation de personnel hautement qualifié et l'infrastructure de recherche. En général, les principaux objectifs de politique pour la science sont des établissements postsecondaires, des organismes de financement de la recherche et des ministères et organismes gouvernementaux à vocation scientifique. La science pour la politique est l'application et l'utilisation de la recherche et des connaissances scientifiques pour éclairer les décisions fondées sur des données probantes pour les politiques publiques et les réglementations dans tous les domaines politiques, sans s'y limiter, mais y compris les priorités politiques d'intérêt public telles que la santé, l'environnement, la sécurité nationale, l'éducation et la justice pénale et d'autres.
Science et société se concentre sur le renforcement de la compréhension et de l’engagement du public envers la science, y compris la relation entre la science et la société. Cela inclut, sans toutefois s'y limiter, la communication scientifique, le journalisme scientifique, l'engagement du public, les scientifiques citoyens et bien plus encore.
Date du panel : 15 novembre 2023
Orateurs :
Dr Baljit Singh
Frederic Bouchard
Résumé des conversations :
La table ronde du déjeuner a porté sur un récent rapport sur le système fédéral de soutien à la recherche. Des inquiétudes ont été soulevées quant au fait que le Canada perd de sa compétitivité sur le plan international en matière de recherche et connaît une fuite des cerveaux. Les défis évoqués comprenaient la fragmentation du système de financement de la recherche du Canada, qui exige un délai excessif pour les demandes de subvention. Cette fragmentation pourrait décourager les jeunes chercheurs de choisir le Canada. D'autres questions soulevées concernaient le soutien aux grandes installations de recherche, le financement des organismes de recherche innovants et l'amélioration du soutien au développement de carrière postdoctoral. Dans l'ensemble, le rapport a mis en lumière des problèmes liés au système de financement de la recherche et à la compétitivité du Canada qui pourraient contribuer à l'exode des cerveaux s'ils ne sont pas résolus. Les panélistes et les participants ont discuté de solutions potentielles axées sur la rationalisation du financement, le soutien aux installations et au développement de carrière, ainsi que la promotion des atouts du Canada en matière de recherche.
Messages à retenir/État actuel des défis :
Recommandations (ou prochaines étapes) :
* Résumé du panel généré par OLGOO.com
Résumé du panel :
« Les micropuces sont le nouveau pétrole », déclare Chris Miller dans son livre primé « Chip War : The Fight for the World's Most Critical Technology ». En effet, les puces semi-conductrices sont aujourd'hui omniprésentes dans toutes les industries, et l'IA et le calcul quantique, deux des stratégies nationales du Canada, en dépendent.
Dans ce contexte, ce panel discutera de la situation actuelle du Canada et de la manière dont il espère naviguer dans cet écosystème complexe de technologie de pointe, d'impératifs financiers et de préoccupations géopolitiques. La discussion portera sur les atouts actuels du Canada ainsi que sur son potentiel futur de diversification dans des domaines où il pourrait devenir un leader mondial. Enfin, nous discuterons de la nécessité d’une stratégie fédérale globale qui garantirait une collaboration harmonieuse entre toutes les parties prenantes concernées : scientifiques et ingénieurs, financiers et décideurs politiques, pour faire de cette transformation un succès.
Résumé des conversations :
La table ronde a porté sur les opportunités et les défis du Canada dans l'industrie des semi-conducteurs. Historiquement, le Canada a réussi dans certains domaines, comme la formation de concepteurs de puces talentueux et d'entreprises comme Mitel, mais a perdu la course dans la fabrication à grand volume. Le Canada conserve des atouts dans des domaines de niche comme la photonique, les semi-conducteurs composés et le nitrure de gallium. Les panélistes ont souligné que les programmes de formation de calibre mondial offerts dans les universités canadiennes constituent un atout. Cependant, ils ont noté que les intentions stratégiques, les ambitions et l’exécution étaient en retard par rapport aux États-Unis. Les participants ont soulevé des questions telles que la diversification des partenariats au-delà des États-Unis et la participation aux programmes américains. Les recommandations comprenaient la mise à profit de l'abondance des matières premières du Canada. Dans l’ensemble, des opportunités existent dans les startups de conception et de photonique sans usine, mais le Canada est confronté à des défis de concurrence à grande échelle avec les États-Unis. La discussion a souligné l'importance des semi-conducteurs pour l'économie et la sécurité nationale dans un contexte de tensions géopolitiques.
Messages à retenir/État actuel des défis :
Recommandations (ou prochaines étapes) :
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Résumé du panel :
Le Canada, comme tous les pays développés, a compris l’immense valeur d’investir dans des collaborations internationales. Connecter les partenaires à la fois en matière d'innovation et à l'échelle mondiale reste une tâche complexe reliant de nombreuses parties prenantes. Ce panel se concentrera précisément sur la manière de surmonter les nombreux défis pour améliorer les connexions à l’échelle mondiale. Le panel rassemblera des programmes existants au Canada, notamment Entreprise Europe Network Canada, In2novation, Eureka, Euraxess North America et Horizon Europe, qui préconisent tous le jumelage de partenariats d'innovation avec des partenaires européens. Les panélistes se concentreront sur une session sur les « services de mise en relation internationale et de création de partenariats » », au cours de laquelle ils présenteront diverses approches pour fournir avec succès ces services.
Résumé des conversations :
La table ronde s'est concentrée sur la promotion des partenariats et de la collaboration entre l'Europe et le Canada. Une étude sur les partenariats internationaux des entreprises albertaines a révélé que la plupart d'entre elles ont déjà des partenaires européens, mais qu'elles ont du mal à trouver les bons partenaires. Les programmes existants comme Enterprise Europe Network et Horizon Europe peuvent aider à connecter les chercheurs et les entreprises à des partenaires potentiels en Europe et au-delà. Les organisations en Europe disposent de bases de données de financement qui permettent aux chercheurs d'identifier des collaborateurs. Il existe des opportunités grâce à Horizon Europe pour une plus grande participation canadienne. Un programme en transition vers Innovation pour le Canada continuera de se concentrer sur l'aide aux PME. Eureka, qui a débuté en Europe mais s'est développé, adapte son modèle de financement aux contextes locaux. Le réseautage demeure important pour trouver des partenaires dans toutes les régions. Un développement potentiel important serait la négociation par le Canada d’une association au deuxième pilier d’Horizon Europe, qui pourrait transformer la coopération et le paysage de la recherche en cas de succès.
Messages à retenir/État actuel des défis :
Recommandations (ou prochaines étapes) :
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