Conférenciers

Frank McKenna
Vice-président
Banque TD

Jean Risley
Président et CEO
Clearwater Fine Foods inc.

La politique d'approvisionnement du Canada et sa proposition de valeur connexe et les politiques de retombées industrielles et technologiques (RIT) ont le potentiel de créer de puissantes opportunités stratégiques pour l'industrie et la R&D canadiennes. Ces opportunités comprennent l'augmentation de l'attraction du côté de la demande au lieu de l'incitation plus courante du côté de l'offre. De plus, les RIT et les propositions de valeur peuvent offrir de nouvelles possibilités aux entreprises canadiennes d'entrer et de progresser dans des chaînes d'approvisionnement mondiales sophistiquées.

D'un autre côté, ces politiques pourraient potentiellement compliquer davantage un processus d'approvisionnement déjà compliqué et atténuer l'objectif principal d'équiper les Forces canadiennes en temps opportun. Pour réaliser les importants avantages potentiels du développement économique, les RIT et les propositions de valeur doivent être conçues et négociées de façon stratégique. Cela nécessitera donc une attention prioritaire de la part des ministères responsables.

Un panel faisant autorité apportera une variété de perspectives aux questions politiques. Le panel comprendra des membres provenant : d'une entreprise canadienne ayant un contrat de construction de navires de guerre; un programme fédéral de développement régional; un ministère fédéral responsable du fonctionnement des politiques; un gouvernement provincial; et un officier militaire à la retraite. Le panel est présidé par Peter Nicholson qui possède une vaste expérience en matière de politique scientifique et d'innovation, y compris sa relation avec l'approvisionnement en matière de défense.

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DÉTAILS DU MODÉRATEUR

Pierre Nicholson
Président, Comité de sélection permanent
Réseaux de centres d'excellence

DÉTAILS DU PANELISTE

John Knubley
Vice-ministre
Industrie Canada

Christyn Cianfarani
Président
Association canadienne des industries de défense et de sécurité (CADSI)

Jim le roi
Consultant indépendant, ancien vice-amiral

Eric L. Cook, ing.
Directeur exécutif / PDG
Conseil de la recherche et de la productivité (RPC)

Pour fournir les connaissances nécessaires pour résoudre de grands problèmes ou des questions complexes sans solutions évidentes, les nations se tournent vers de grands réseaux de recherche multidisciplinaires. Ces réseaux font appel à des chercheurs en sciences sociales et naturelles et génèrent de grandes quantités de données. Les ministères, les communautés côtières et les utilisateurs industriels de l'océan recherchent une interaction plus étroite avec ces réseaux dirigés par des universitaires. Un certain nombre de réseaux de recherche au Canada sont financés à l'échelle nationale pour fournir des informations pertinentes au développement durable des océans. Ces réseaux abordent des questions de recherche bien définies et relativement étroites et collectent des types de données très différents. Pourtant, ils se chevauchent dans leurs zones géographiques d'opération, et les résultats du réseau pourraient potentiellement être intégrés pour générer de nouveaux produits et connaissances. Nous réunissons quatre réseaux océaniques centrés sur l'océan (Ocean Tracking Network (OTN), Marine Environmental Prediction and Response Network (MEOPAR), Fisheries-Western and Indigenous Knowledge Systems (Fish-WIKS) et Community Conservation Research Network (CCRN). ) ensemble pour examiner les forces et les faiblesses de leurs centres d'intérêt, les défis auxquels chacun est confronté dans la construction de ses réseaux et la gestion des mégadonnées, leurs stratégies pour transférer leurs connaissances dans les sphères de la politique et de la gestion, et les synergies qui pourraient être réalisées en intégrant ces réseaux dans de nouveaux façons.


DÉTAILS DU MODÉRATEUR

Sara Iverson
Directeur scientifique
Réseau de suivi des océans (OTN)
sara.iverson@dal.ca

DÉTAILS DU PANELISTE

Ronald Pelot, Ph.D., ing.
Département de génie industriel,
Université de Dalhousie
Ronald.Pelot@Dal.ca

Fred Whoriskey
Directrice exécutive
Réseau de suivi des océans (OTN)
fwhoriskey@dal.ca

Tony-Charles
Professeur/Directeur, École de l'environnement
Université Saint Mary's
Tony.charles@smu.ca

Lucie Fanning
Directeur, Programme des affaires maritimes
Université de Dalhousie
lfanning@dal.ca

Le coût pour les Canadiens des catastrophes naturelles est substantiel et continue d'augmenter. D'importants investissements canadiens en S et T, tels que les observatoires d'Ocean Networks Canada et le réseau d'observation, de prévision et d'intervention en milieu marin, améliorent la capacité de la communauté scientifique à offrir des avantages en fournissant des informations géoscientifiques marines jusqu'ici indisponibles qui permettent aux Canadiens de minimiser les risques matériels et économiques potentiels. pertes associées aux tremblements de terre, aux tsunamis, aux ondes de tempête et aux glissements de terrain sous-marins. Les résultats de la recherche sont conçus pour favoriser une meilleure compréhension et une meilleure évaluation des dangers marins, pour aider les décideurs à utiliser ces évaluations et pour fournir des outils pour assurer une meilleure préparation des Canadiens à intervenir en cas de danger. Ainsi, la recherche appuie directement le mandat de Ressources naturelles Canada « de s'assurer que les Canadiens disposent de renseignements pertinents pour gérer leurs terres et leurs ressources naturelles et qu'ils sont protégés contre les risques connexes ». S'appuyant sur les conclusions de la récente évaluation du Conseil des académies canadiennes, Les sciences océaniques au Canada : relever le défi, saisir l'occasion, et sur une séance convoquée pour la réunion de 2013 du CCSP, ce groupe d'experts réunit des chefs de file nationaux et internationaux de la recherche sur les géorisques marins et politique pour déterminer comment optimiser la capacité en S et T océaniques afin d'atténuer les risques pour les côtes et les collectivités canadiennes.


DÉTAILS DU MODÉRATEUR

Martin Taylor
Université de Victoria
Professeur émérite
smt@uvic.ca

DÉTAILS DU PANELISTE

Kate Moran
Réseaux océaniques Canada
Président et CEO
kmoran@uvic.ca

Laurie L'Heureux
Coordonnateur de la planification d'urgence
District régional d'Alberni Clayoquot
laurie_l'heureux@portalberni.ca

Philippe Colline
Directeur, Commission géologique du Canada-Pacifique
Ressources naturelles Canada
Philip.Hill@NRCan-RNCan.gc.ca

Douglas Wallace
Université de Dalhousie
Chaire d'excellence en recherche du Canada en sciences et technologies océaniques et directrice scientifique du MEOPAR
douglas.wallace@dal.ca

La recherche universitaire canadienne dans toutes les disciplines est parmi les meilleures au monde, mais le Canada ne tire pas toute la valeur sociale et économique de cette recherche. Les réductions de la capacité d'élaboration des politiques au sein du gouvernement créent des occasions d'engager des chercheurs universitaires dans des dialogues politiques structurés sur des domaines stratégiques d'importance stratégique pour le Canada. L'appui aux collaborations en matière de recherche sur les politiques créera un environnement stratégique novateur qui aura une incidence sur l'ensemble du gouvernement et sur la communauté des chercheurs et des étudiants diplômés du Canada. Des dialogues politiques structurés sur des sujets importants pour les Canadiens fourniront un moyen important de maximiser le rendement des investissements du gouvernement dans la recherche universitaire et renforceront les capacités et les partenariats pour mieux permettre la mobilisation des connaissances et accroître les avantages publics de la recherche financée par l'État.

Ce panel mettra en vedette des experts des milieux de la recherche universitaire et des politiques fédérales. Les panélistes présenteront leurs arguments et exploreront les possibilités de partenariats croissants entre les décideurs fédéraux et la communauté politique au sens large. Le modérateur sollicitera ensuite les commentaires de l'auditoire dans le cadre d'une séance de conception afin d'éclairer l'élaboration d'un processus qui maximisera l'impact de la communauté de recherche universitaire du Canada sur le processus de politique publique fédérale du Canada.


DÉTAILS DU MODÉRATEUR

Dr Robert Haché
Vice-président Recherche et Innovation
Université York

DÉTAILS DU PANELISTE

Dr Rainer Engelhardt
Directeur scientifique
Agence de la santé publique du Canada

Antoine Gilles
Directeur Général
Politique stratégique, analyse et information sur le milieu de travail, Programme du travail d'Emploi et Développement social Canada

Neil Gall
Directrice exécutive
MÉOPAR NCE

Christine Tausig Ford
Vice-président et chef de l'exploitation
Association des universités et collèges du Canada

Les génomes sont constitués d'ADN et contiennent le "code de vie" de tout organisme vivant. Le travail de déchiffrage de ces codes libère des innovations qui aident à relever certains des défis les plus critiques auxquels le monde est confronté aujourd'hui, notamment la sécurité alimentaire, l'adaptation au changement climatique, la demande énergétique et la santé humaine. Grâce à un investissement soutenu et ciblé de plus de 2.3 milliards de dollars dans la génomique au cours des 14 dernières années, le Canada se retrouve parmi les chefs de file mondiaux dans ce domaine. De plus, nous sommes désormais parfaitement positionnés pour récolter les avantages sociaux et économiques permis par cette technologie révolutionnaire dans tous les secteurs des industries basées sur les sciences de la vie, constituant collectivement la bioéconomie. Le président-directeur général de Génome Canada, Pierre Meulien, discutera de ce domaine révolutionnaire de la science et de la technologie et de ce qu'il signifie pour le Canada. Il sera suivi du président et chef de la direction de Génome Atlantique, Steve Armstrong, qui expliquera comment ces deux organisations aident les entreprises et les organisations du Canada atlantique à bénéficier de la génomique.

L'économie du savoir du Canada repose plus que jamais sur la collaboration – la collaboration est nécessaire non seulement pour créer de nouvelles connaissances, mais aussi pour transformer ces connaissances en produits et services qui créent des avantages socioéconomiques pour tous les Canadiens. L'un des principaux problèmes relevés dans le système d'innovation canadien est la lenteur de la mobilisation des connaissances du « campus au commerce ».

À la lumière de la nouvelle orientation politique du gouvernement du Canada, telle que soulignée dans le cadre Canada numérique 150 et l'initiative de données ouvertes du gouvernement, ce panel réunira des experts ayant des perspectives uniques sur la façon dont le Canada peut encourager le partage et la collaboration entre les divers intervenants de l'écosystème de l'innovation tout en tirer parti des ressources existantes.

Les panélistes décriront également comment leurs partenariats uniques prospèrent et génèrent des avantages tangibles pour les partenaires des secteurs public et privé. Ils discuteront de la façon dont ils ont profité de nouvelles opportunités pour ajouter de la valeur à leurs communautés de parties prenantes, et comment ces partenariats peuvent être reproduits et élargis.

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DÉTAILS DU MODÉRATEUR

Jim Ghadbane
Président et CEO
CANARI

DÉTAILS DU PANELISTE

Laura O'Blenis
Directeur fondateur
Association des Parcs Universitaires de Recherche (AURP)

Marc Hoddenbagh
Directeur exécutif par intérim
Partenariats et recherche appliquée, Collège Algonquin

Robin Winsor
Président et CEO
Cybera

Dr Steve Liang
Professeur et entrepreneur
Université de Calgary

Les universités de petite et moyenne taille partout au Canada sont essentielles pour faire progresser le développement économique et la prospérité du Canada. L'excellence en recherche est présente dans toutes les universités et a un impact stratégique et significatif sur le développement d'une économie prospère basée sur la science et l'innovation dans toutes les communautés du pays. Les politiques scientifiques nationales ignorent ou sous-estiment trop souvent le rôle crucial et l'impact des universités de petite et moyenne taille.

Sans la contribution des petites et moyennes universités, la capacité scientifique nationale serait gravement compromise. De même, sans politiques scientifiques qui reconnaissent les contributions importantes de ces institutions, l'impact de la S&T sur le développement économique et social serait gravement entravé à travers le pays, et peut-être plus particulièrement, dans les petites communautés où ces universités sont souvent situées.

Le panel est composé de représentants clés d'universités de recherche complètes de petite et moyenne taille à travers le Canada, présentera des cas d'excellence en recherche et leur impact sur le développement économique et social, et proposera des pistes pour faire progresser la politique scientifique du Canada.

Les résultats attendus sont de deux ordres : preuve de l'excellence de la recherche dans tout le pays et son impact sur toutes les communautés; et, l'identification des risques pour notre capacité scientifique nationale si le rôle des petites et moyennes universités n'est pas suffisamment reconnu et soutenu par la politique scientifique au Canada.

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DÉTAILS DU MODÉRATEUR

Daniel J.Semaines
Président et vice-chancelier
Université du nord de la Colombie-Britannique

DÉTAILS DU PANELISTE

J. Kevin Vessey
Vice-président associé à la recherche, doyen des études supérieures et professeur de biologie
Université Saint Mary's

Michael Owen
Vice-Président Recherche, Innovation & International
Institut de technologie de l'Université de l'Ontario

david cruise malloy
Vice-président recherche
Université de Regina

André Manseau
Doyen de la recherche
Université du Québec en Outaouais

La collaboration et les partenariats sont à l'ordre du jour. Des « partenariats public-privé » au niveau des agences gouvernementales aux collaborations de recherche industrie-université qui stimulent le transfert et la commercialisation de technologies, bon nombre de nos institutions publiques et privées sont sous pression pour initier ou étendre des partenariats stratégiques. Cela comprend les universités publiques désireuses de développer les programmes et l'expérience des étudiants, les entreprises intéressées à tirer parti de la propriété intellectuelle et du savoir-faire provenant des instituts de recherche et des laboratoires gouvernementaux, et les organisations à but non lucratif à la recherche d'un soutien d'experts en recherche fondamentale ou appliquée, et des voies vers un plus grand engagement avec les consommateurs, les citoyens canadiens ou un public mondial.

Mais quelle est la nature d'un partenariat stratégique ? Comment creuser sous les mots à la mode pour en tirer une valeur réelle, les leçons apprises et les récits édifiants ? Comment sont-ils conçus, créés et entretenus ? Ce panel abordera ces grands thèmes en s'appuyant sur l'expertise de vétérans chevronnés de l'interface industrie-université au Canada. Dans l'esprit du thème du CSPC 2014 « Innovation et partenariats : la recette du succès », ce panel couvrira quelques sous-questions clés, notamment :

Que peut apprendre le Canada des autres nations dans ce domaine?
Les cadres régionaux, nationaux et internationaux catalysent-ils les partenariats ou commencent-ils par des relations individuelles entre individus ?
Quel est le rôle de l'investissement direct du gouvernement et des capitaux privés, y compris la philanthropie, dans la création et le maintien de partenariats durables ?


DÉTAILS DU MODÉRATEUR

Marcius Extavour
Directrice des partenariats gouvernementaux et corporatifs à la Faculté des sciences appliquées et de génie
Université de Toronto

DÉTAILS DU PANELISTE

Marianne Romanski

David Tweddel
Consultant principal (Initiatives stratégiques)
Université Western

Stephen Perelgut
Chargé de relations senior pour les relations académiques
IBM Canada

Edward Thomas
Responsable des partenariats industriels
Université Queen

Le bureau du vérificateur général présentera les conclusions du programme de surveillance des sables bitumineux Canada-Alberta, l'ACEE 2012, et la navigation maritime dans l'Arctique. La nécessité ou l'avantage de programmes similaires en science et technologie seront discutés entre les panélistes en répondant aux questions suivantes ;

Compte tenu du mandat fédéral en matière de science et de technologie, quelles sont les principales choses que le gouvernement fédéral doit faire pour bien faire?
Quelles activités fédérales concernant la science et la technologie fonctionnent bien?
Pour quelles activités fédérales concernant la science et la technologie y a-t-il des points à améliorer? Si c'est vrai, que sont-ils?
Quels sont les plus grands risques pour les activités fédérales liées à la science et à la technologie? Quel serait l'impact ?

Pour consulter le rapport 2014 du commissaire à l'environnement et au développement durable récemment publié, veuillez visiter :
http://www.oag-bvg.gc.ca/internet/English/parl_cesd_201410_e_39845.html


DÉTAILS DU MODÉRATEUR

Janet Halliwell
Directeur
JE Halliwell Associés Inc

DÉTAILS DU PANELISTE

Dr Martha Crago
VP Recherche
Université de Dalhousie

Pierre Nicholson
Président, Comité de sélection permanent
Réseaux de centres d'excellence

Alain Bernstein
Président et CEO
Institut canadien de recherches avancées

Pierre Meulien
Président et CEO
Génome Canada

Julie Gelfand
Commissaire à l'environnement et au développement durable

Ce panel offrira une discussion à l'échelle nationale sur l'avenir de la formation des étudiants diplômés et postdoctoraux au Canada. À quoi ressemble la prochaine génération de leaders de l'innovation au Canada? De quelles compétences voudront-ils et auront-ils besoin pour réussir ? Quelles sont leurs aspirations professionnelles et à qui incombe-t-il de s'assurer qu'ils sont bien préparés à ces carrières à la fin de leur formation universitaire? Le panel examinera l'évolution de l'écosystème de la formation en recherche pour les étudiants diplômés et postdoctoraux et discutera des défis à relever pour répondre aux demandes croissantes de l'économie canadienne à forte intensité de savoir. Une possibilité est d'accroître les liens et les collaborations qui existent entre l'université et la communauté au sens large par la recherche, la formation et l'innovation. Des moyens pratiques d'y parvenir et de relever d'autres défis en matière de formation professionnelle seront discutés, tout en reconnaissant l'objectif plus large de s'assurer que les étudiants et les postdoctorants peuvent réussir en tant que futurs leaders de l'innovation. Il s'agit d'un sujet d'actualité, car ces questions font l'objet de débats dans tout le pays et des appels sont lancés pour envisager des formes nouvelles et réinventées de formation en recherche aux cycles supérieurs et postdoctoraux.

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DÉTAILS DU MODÉRATEUR

Rachel Brighton
Président
Périodiques Finest Point Limited

DÉTAILS DU PANELISTE

André Bezanson
Chercheur Postdoctoral
Université de Dalhousie

Valérie Walker
Directeur, Politique
Mitacs

Kevin Dunn
Directeur, Liaison avec l'industrie et innovation (ILI)
Université de Dalhousie

Ross Laver
Vice-président, Politiques et communications
Le Conseil canadien des chefs d'entreprise

Les gouvernements sont de plus en plus préoccupés par l'impact économique et la pertinence sociétale des investissements scientifiques. La nouvelle économie du savoir du Canada est fortement favorisée par les principaux instituts de recherche nationaux qui appuient un large éventail d'utilisateurs universitaires, gouvernementaux et industriels de nombreuses disciplines différentes. Les grandes installations scientifiques sont des moteurs importants de la croissance de l'économie future du Canada et de la promotion de l'innovation dans l'industrie. Ils comprennent le Canadian Light Source, TRIUMF, SNOLAB et Ocean Networks Canada, pour n'en nommer que quelques-uns.

De la formation de personnel hautement qualifié à l'engagement du secteur privé en passant par des capacités de recherche uniques en passant par le transfert de technologies développées en laboratoire aux entreprises canadiennes, ces installations stimulent la croissance aux niveaux local et national.
Le but de ce symposium est de discuter de la manière unique et complémentaire dont les grandes installations scientifiques ont des impacts sociétaux et économiques pour le Canada. La discussion mettra en évidence les principes de base, défiera les hypothèses et analysera des exemples spécifiques.

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DÉTAILS DU MODÉRATEUR

Marc Henderson
Éditeur
RECHERCHER DE L'ARGENT

DÉTAILS DU PANELISTE

Nigel forgeron
Directeur
SNOLAB

Martin Taylor
Université de Victoria
Professeur émérite

Dr Jonathan Bagger
Directeur
TRIUMF

Robert Agneau
Directrice exécutive
Source canadienne de rayonnement inc.

La science gouvernementale traverse actuellement une transition historique qui finira par redéfinir sa structure interne, l'orientation de ses partenariats et de ses réseaux, et l'avenir de la science, de la technologie et de la capacité d'innovation du Canada. Parallèlement aux coupes dans les ministères et organismes à vocation scientifique (MOVS), les politiques et pratiques gouvernementales façonnent les façons dont la science gouvernementale collabore avec le milieu universitaire, l'industrie et la communauté internationale de S&T.

Les stratégies du gouvernement du Canada et des ministères soulignent le rôle essentiel de la collaboration et de la transparence dans la capacité d'innovation du Canada, soulignant l'importance des partenariats avec les universités et le secteur privé. Malgré ces principes solides, les scientifiques du gouvernement et les groupes de défense des sciences ont attiré l'attention sur la manière dont les coupures dans le financement des sciences, les politiques restrictives en matière de communication et les formalités administratives lourdes ont limité la capacité des scientifiques à collaborer et, à leur tour, freinent la croissance du Canada. capacité de recherche et d'innovation. En réponse, le Canada a connu une mobilisation sans précédent de scientifiques, d'universitaires et de partisans publics qui utilisent une diversité de tactiques pour « défendre la science ».

Ce panel réunira des parties prenantes de tous les secteurs et disciplines pour discuter des écarts entre la politique et la pratique, en abordant les questions suivantes :

La science gouvernementale a-t-elle encore un rôle à jouer dans l'innovation? Dans le contexte actuel, les scientifiques du gouvernement fédéral peuvent-ils encore collaborer efficacement? Si non, que faut-il pour leur permettre de le faire ?

Quels sont les principes directeurs de la science gouvernementale qui appuient la communication et la collaboration ouvertes ? Quels sont les principaux catalyseurs et obstacles à la mise en œuvre de ces principes ?

Quels sont quelques exemples de partenariats réussis entre le gouvernement, l'industrie et le milieu universitaire, et quelles sont certaines des leçons tirées de ces expériences ? De quelles voies disposent les scientifiques et les décideurs pour partager des idées et collaborer sur des idées et des politiques ?

Comment pouvons-nous nous assurer que les réseaux de collaboration sont inclusifs, pancanadiens et mobilisent la prochaine génération de jeunes scientifiques qui valorisent la créativité, la communication ouverte et l'autonomie?


DÉTAILS DU MODÉRATEUR

Ivan Semeniouk
Journaliste scientifique
Globe and Mail

DÉTAILS DU PANELISTE

Pierre Morand
Ancien président du CRSNG

Michel Halpern
Union des scientifiques concernés (UCS)

Thomas J. Canard
Département de physique et des sciences de l'atmosphère
Université de Dalhousie

Katie Gibbs
Directrice exécutive
Preuve de la démocratie

Conférenciers

L'honorable Ed Holder
Ministre d'État (Science et Technologie)

Cette séance est parrainée conjointement par Research Data Canada (RDC), l'Association des bibliothèques de recherche du Canada (ABRC) et le Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH) au nom des bailleurs de fonds fédéraux. Walter Stewart, coordinateur RDC, animera la session. Ted Hewitt, vice-président exécutif du CRSH, parlera des raisons et des mécanismes de l'introduction d'une exigence de plans de gestion des données (PGD) au Canada et du processus de consultation en cours par le TC3+. Chuck Humphrey, coordonnateur des services de gestion des données de recherche à l'Université de l'Alberta, et Wendy Watkins, bibliothécaire de données à l'Université Carleton, fourniront des conseils pratiques pour la préparation d'un DMP et feront la démonstration des outils Web à l'appui. Les participants sont encouragés à apporter un cas d'utilisation de recherche pour développer un plan de gestion des données dans leur contexte. Les participants repartiront de la session avec :

Une appréciation de la valeur des plans de gestion des données
Une compréhension du contenu qui entre dans un plan de gestion des données et des outils qui aideront à préparer un tel plan
Savoir où s'adresser pour obtenir de l'aide dans la préparation d'un plan de gestion des données.
Un aperçu des développements pour construire une infrastructure de gestion des données de recherche dans tout le pays.

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DÉTAILS DU MODÉRATEUR

Walter Steward

DÉTAILS DU PANELISTE

Christine Trauttsmansdorff
Directrice exécutive
CRSH

Ernie Boyko
Bibliothécaire de données
Université Carleton

Charles (Chuck) Humphrey
Coordonnatrice des services de gestion des données de recherche
Université de l'Alberta

Au cours des dernières décennies, les partenariats internationaux complexes pour la science, la technologie et l'innovation (CISTIP) sont devenus un instrument politique de plus en plus populaire grâce auquel les gouvernements cherchent à renforcer les capacités nationales en science, technologie et innovation grâce à la collaboration avec des organisations d'experts mondialement reconnues. Par exemple, des pays comme Singapour, la Russie, les Émirats arabes unis, le Portugal et l'Arabie saoudite ont embauché des universités de recherche de premier plan du monde entier, notamment le MIT, Carnegie Mellon et Harvard, pour les aider à lancer ou à renforcer certains domaines de recherche, à accroître l'innovation et l'activité entrepreneuriale dans leurs principales universités nationales, ou créer de toutes nouvelles universités à partir de rien. De même, des pays comme l'Algérie, le Chili, l'Égypte, l'Indonésie, la Malaisie, le Nigéria, la Thaïlande et les Émirats arabes unis ont conclu des projets de développement de satellites en collaboration avec des entreprises étrangères et des agences spatiales de pays comme la Chine, la France, la Corée du Sud, le Royaume-Uni et les États-Unis. États, d'avoir accès à une technologie satellitaire de pointe, d'augmenter les capacités d'ingénierie nationales et d'exploiter les avantages socio-économiques plus larges de l'ingénierie spatiale. Des CISTIP s'observent aussi actuellement dans d'autres secteurs comme le nucléaire et la grande vitesse ferroviaire. Le Canada participe de plus en plus à de tels partenariats.

Alors que les CISTIP se sont généralisés, on comprend mal les fondements de ces partenariats - par exemple, quelles approches de conception et de mise en œuvre existent, comment elles s'intègrent (ou non) dans la politique d'innovation traditionnelle ou les modèles de transfert de technologie, ou comment les évaluer dans compte tenu de leurs objectifs et activités complexes. Ce panel présentera un cadre théorique pour analyser et concevoir systématiquement les CISTIP et mieux comprendre leurs rôles dans les stratégies nationales de science et d'innovation. Nous discuterons des modèles de mise en œuvre et des méthodes d'évaluation des CISTIP basés sur les approches émergentes de l'architecture des systèmes, de la politique technologique, des études scientifiques et technologiques et de la science des réseaux. Plusieurs études de cas de CISTIP, y compris des partenariats universitaires et des projets collaboratifs de développement de satellites, seront présentées pour souligner les succès et les défis des CISTIP antérieurs ou en cours. Enfin, les panélistes tireront des conclusions sur les orientations futures des programmes de partenariat canadiens actuels et sur les possibilités de créer de nouveaux partenariats pour renforcer la capacité d'innovation au Canada.

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DÉTAILS DU MODÉRATEUR

Dan Roos
Japan Steel Industry Professeur émérite de systèmes d'ingénierie et de génie civil et environnemental
MIT

DÉTAILS DU PANELISTE

Mac Hird
Doctorant
MIT

Danielle Bois
Ingénieur de recherche
Johns Hopkins University

Sébastien Pfotenhauer
Chargé de cours et chercheur, MIT Technology & Policy Program
MIT

Pierre Bilodeau
Directeur des Opérations
Partenariats internationaux en science et technologie Canada (ISTPCanada)

Manuel Héitor
Professeur titulaire
Instituto Superior Técnico, Lisbonne

L'objectif de ce panel est de partager des expériences individuelles de réussites en matière de soutien à l'innovation et à la commercialisation efficaces au Canada atlantique.

Le panel examinera le besoin de collaboration et de partenariats entre les quatre principaux secteurs d'intervenants de l'université, de l'industrie, du gouvernement et de la communauté, afin d'être efficace dans le soutien des initiatives d'innovation et d'entrepreneuriat. Le panel a été composé principalement d'associations universitaires et d'entreprises qui gèrent des programmes d'innovation et d'entrepreneuriat. En outre, certains des panélistes ont dirigé des entreprises prospères avant de prendre leurs fonctions actuelles, y compris une expérience internationale. Le panel discutera également des bonnes pratiques pour obtenir des droits de propriété intellectuelle dans le monde (y compris les meilleures pratiques pour protéger la recherche universitaire).

Le panel discutera de la manière dont des collaborations efficaces (entre les universités, les gouvernements, le secteur privé et les communautés) ont été conçues et mises en place au Canada atlantique pour soutenir la commercialisation réussie de la recherche. Quelques exemples internationaux pertinents seront également présentés par le modérateur. Cette question est directement liée à deux thèmes de la conférence, à savoir :

Les meilleures pratiques dans les détails sur la façon de réaliser une innovation et une commercialisation efficaces grâce à la collaboration sont importantes (ce qui fonctionne, ce qui ne fonctionne pas) et doivent être identifiées et examinées afin d'améliorer la performance du Canada en matière d'innovation; et,
Quelques-uns des facteurs de succès et des enjeux liés aux approches collaboratives de l'innovation et de l'entrepreneuriat. Cela aidera le public à définir ses propres politiques et feuilles de route au sein de ses propres organisations pour les futurs programmes d'innovation et d'entrepreneuriat.


DÉTAILS DU MODÉRATEUR

Muthu Singaram
Mentor en chef, responsable du conseil et facilitatrice d'entreprise
Muthu Singaram Consulting

DÉTAILS DU PANELISTE

Jeffrey Crelinsten
Président et co-fondateur
Le groupe Impact

Larry Shaw
PDG
Parc du savoir inc.

Kathleen Rayworth
Directrice exécutive
Forum des entrepreneurs

Kevin Dunn

David Burns
VP Recherche
Université du Nouveau-Brunswick